Tu as bien raison, Éric : la portée des deux livres est radicalement différente, ainsi que l'objectif. Les seules comparaisons qui s'imposent impliquent le pays, la rue, l'adolescence. Là où Beltran dépeint à la manière d'un exutoire un contexte dramatique, Calo fait le choix de l'anecdote et de l'humour. En plus, les milieux sociaux ne sont pas du tout semblables.
D'un postulat de départ commun, les auteurs ont décliné le sujet de façon diamétralement opposée.