Pareil pour moi, j'ai grandi avec l'association et les premières bd de Trondheim, notamment.
Mais sans vouloir déplacer la conversation, je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous.
Je ne cherche pas à comparer les ego. Il me semble que chez Trondheim le dispositif et le ton tournent en dérision la dimension de l'ego même.
Là on est dans le réel (j'attends la remarque de l'hypocrite qui, parmi vous n'a jamais cru discerner un hérisson à dossard sur le bord d'une route !). Ce sont deux démarches radicalement différentes. Encore une fois, par moment, chez Wazem, je ressens ce que la plupart d'entre vous a décrit. Mais ces moments restent pour moi trop rares et trop isolés les uns des autres.