Bernard Grandjean nous raconte son parcourt depuis l'adolescence jusqu'à aujourd'hui.
L'idée lui vient lorsqu'il apprend le décès d'une pensionnaire d'un centre pour adultes handicapés dans lequel il a bossé, ce sera sa madeleine. Il se souvient des beaux-arts (et ça donne pas envie), mais surtout de ses boulot d'été à la ferme, à l'usine métallurgique, dans le centre pour adulte en question.
C'est une très belle tranche de vie (et pas inintéressante la vie en question) qui mérite un coup d'oeil.
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"Tout enfant, j'ai senti dans mon cœur deux sentiments contradictoires : l'horreur de la vie et l'extase de la vie." Baudelaire