[chronique] Blackhole de Charles Burns

Indescriptible
Une maladie touche les adolescents qui souffrent alors de difformités plus ou moins grave.
Une ambiance lourde pour une bédé superbe pleine de souffrance, de mal de vivre.
Un trait simple qui sied a merveille au propos.

6 tomes plus dispo et une intégrale.

ps: il me manque le t.2 (la couv ci-dessus) donc si jamais ...

Un trait simple ? c'est pas le mot que j'aurai employé pour qualifier le trait de Charles Burns (Smitters : "Yes, mister Burns"), son travail mélange de ligne claire ultra précise et de clair-obscure extrêment tranché crée une atmosphère extrêment prenante, presque suffocante, c'est un travail graphique absolument magistral.
Charles burns est un des maitres de l'underground américain...

J'attends avec beaucoup d'impatience de voir le films "peur[s] du noir" sur lequel il a réalisé un segment (à l'instar de Blutch)

Mea Culpa Grompf, en effet, l'adjectif "simple" ne convient pas mais tu as rectifié le tir. Merci Grompf, tu as trouvé les mots qui me manquaient.

Tout les soirs, ton vocabulaire tu travailleras, petit scarabée, ainsi un jour à ton maitre donner des leçons tu pourras...

C'est quand meme tres etrange Blackhole. L'atmosphere est en tout cas unique, et c'est vrai que j'ai vraiment ressenti quelque chose a la lecture. Maintenant j'ai du mal a dire si j'ai aime ou pas, mais il y a quelque chose c'est sur.