Amato, Amato, Amato ... C'est une histoire comme je les aime.
Hélène doit partir en convalescence, mais refuse le lieu que lui a choisit son père, et lui préfère un manoir appartenant à une noble famille désargentée. Elle vit donc quelques temps avec une mère et ces 2 fils, peu à peu, la magie du lieu s'empare d'elle : la nature, un tableau représentant un inconnu, le manoir mystérieux...
Ce huit-clos a réussit à me toucher, une histoire pleine de langueur, dans laquelle il faut prendre le temps de rentrer, de se laisser bercer par les peintures superbes de miss Samama.
On y voit l'enfermement - et pas seulement celui des corps - l'amour rêvé et toujours irréel, la folie, la passion ... et bien d'autres choses
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"Tout enfant, j'ai senti dans mon cœur deux sentiments contradictoires : l'horreur de la vie et l'extase de la vie." Baudelaire